Je m'appelle Claudie Bergero. Je suis infirmière depuis 30 ans et j'ai rencontré la sophrologie il y a 15 ans pour moi-même d'abord puis pour me former afin de pouvoir vous transmettre cette magnifique méthode.
Je suis diplômée de l'école Nantaise de sophrologie Caycédienne. Pourquoi cette école plutôt qu'une autre ? Simplement pour rester fidèle aux intentions de départ d'Alfonso Caycédo.
Alfonso Caycédo était un médecin psychiatre d'origine Colombienne. Lors de son cursus universitaire à Madrid il assiste à des séances d'électrochocs qui le laissent perplexe. N'y a t'il pas une manière plus humaine de traiter la conscience pathologique ?
Il part alors en quête d'une méthode qui permettrait de remettre la conscience en équilibre.
Sophrologie.
Sos racine grecque pour équilibre, phren pour conscience, esprit et logos pour étude. Ainsi nait la sophrologie, étude de la conscience en équilibre.
Serge Tisseron (psychiatre) écrit que "le corps est la mise en scène de l'invisible".
En restant sourd aux petits signes, de plus graves symptômes peuvent arriver, nous envahir, jusqu'à, parfois, nous empêcher de vivre. Alfonso Caycédo parlait d'une philosophie du bonheur. Redessiner son schéma corporel, se projeter dans un futur positif, faire une nouvelle lecture de sa propre histoire, retrouver confiance en son avenir, prendre conscience de ses valeurs profondes. La sophrologie est bien plus que de la relaxation. Elle nous réconcilie avec nous même et notre passé. Elle nous ancre dans un présent plein de sens et nous redonne foi en l'avenir
La sophrologie nous ramène à notre essentiel, notre instinct. Rester à l'écoute de soi nous rend plus fort, plus confiant en notre potentiel. Prendre conscience de ses capacités, ses valeurs. Intégrer ses limites et ainsi rester en lien avec sa vraie nature. Un peu comme lorsque nous étions enfant, libre, intrépide, remplie d'une énergie positive transcendante. La sophrologie nous ouvre le champs de tous les possibles.